Salut Serge…

Nous avons appris avec une profonde tristesse le décès de notre ami Serge Simard survenu le 10 octobre 2022 à son domicile.

En plus d’être un membre de l’AÉRA de longue date, Serge était un compagnon fidèle de nos soupers au restaurant. Nous espérons vivement que le paradis des épicuriens servira à volonté le café brésilien qu’il affectionnait tant ! Ayant choisi de vivre sa retraite à Trois-Rivières, Serge participait régulièrement aux activités de son association. Avec les temps, il s’était intégré au cercle de l’AÉRA tel qu’on le fait dans une grande famille, laissant grandir en lui un fort sentiment d’appartenance. Il a fait sa dernière apparition publique à notre récente célébration du cinquantième anniversaire le 1er octobre dernier.

Tous les membres de l’AÉRA se joignent à nous pour témoigner nos sincères condoléances à la famille de Serge et plus particulièrement à sa sœur, Régine Simard.

Nous garderons en mémoire de doux souvenirs de ton passage parmi nous…

Je te laisse toucher mes cheveux une dernière fois avant que tu nous quittes pour rejoindre les tiens et je garde en mémoire ces mots que tu me répétais tout le temps : «Toé Karine, tu l’as l’affaire!».

Bon voyage mon ami !

Karine Descôteaux et Jean Brière

« BARBECUE CHEZ JOSÉE & SERGE » : un court documentaire traitant de la déficience visuelle dans le quotidien

Le cinéma documentaire a souvent ce pouvoir de capter l’attention, fasciner et sensibiliser tout en douceur. C’est exactement le tour du chapeau que le court métrage BARBECUE CHEZ JOSÉE ET SERGE accomplit. Réalisée par Alexandre Sarkis et diffusée par Urbania le 30 avril 2022, l’œuvre est déjà encensée de toutes parts.

Le synopsis

Serge est né non-voyant. Ça ne l’a pas empêché de faire de la course automobile ni de maîtriser l’art du barbecue. Josée a perdu la vue. Ça ne l’a pas empêchée d’élever deux enfants ni de cultiver les meilleurs concombres libanais. Dans la chaleur de l’été, le couple discute d’amour, de liberté et de brochettes de poulet sur le grill.

L’origine du projet

Le projet a vu le jour grâce à une collègue de Serge qui a raconté à Alexandre sa grande fascination face à l’aisance et l’autonomie d’un couple sortant de l’ordinaire. Démontrant un vif intérêt, Alexandre Sarkis a discuté avec eux afin d’évaluer leur intérêt à participer à un projet vidéo en collaboration avec Urbania. La chimie s’est installée rapidement et toutes les personnes impliquées se sont investies passionnément dans le projet.

Un court projet qui va loin

Le document est maintenant disponible en ligne et soumis à de nombreux festivals. Il a d’ailleurs été présenté en compétition officielle à la fin du mois de mars dans le cadre du Festival international du court métrage au Saguenay. Les dirigeants du festival Regard ont même personnellement invité Josée, Serge et le réalisateur à présenter le court métrage devant public.Josée témoigne : « Quelle expérience inoubliable de se retrouver sur scène à présenter notre propre film ! On se sentait comme dans un grand gala. » Elle affirme que la fébrilité était au rendez-vous lorsqu’est venu le temps de s’adresser aux spectateurs. Beaucoup d’applaudissements et de réactions positives !En bons militants, les deux protagonistes en ont profité pour sensibiliser les dirigeants du festival à l’idée d’implanter de la vidéodescription dans les années futures et ceux-ci ont été très réceptifs à cette demande.

Quelques remerciements et félicitations

Josée et Serge tiennent à remercier l’adorable Pauline Berto d’avoir initier le projet, le créateur aux talents multiples Alexandre Sarkis, plein de générosité et au charisme hors du commun, ainsi que la sublime Mylène Fraser qui a poussé le projet bien plus loin qu’ils ne l’avaient imaginé au départ.Le RAAMM félicite quant à lui ses membres Josée Boyer et Serge Poulin pour leur sympathique participation à ce court métrage ! Un projet remarquable.Pour accéder au documentaire de 7 minutes avec vidéodescription :https://urbania.ca/article/barbecue-chez-josee-serge-videodescription

L’AÉRA fait de l’inclusion en milieu de travail un enjeu de premier plan. L’association souhaite soutenir les personnes en situation de handicap visuel dans leurs démarches à l’emploi en sensibilisant les employeurs sur leur potentiel et sur les ressources disponibles facilitant leur intégration.

Dans cette lignée, l’AÉRA a élaboré un projet de sensibilisation, en collaboration avec le département d’ergothérapie de l’UQTR, qui a conduit à la réalisation d’une capsule vidéo et d’un dépliant d’information visant à conscientiser les employeurs et la population générale du potentiel émergeant d’une personne en situation de handicap visuel, ne se limitant point à celui-ci. En effet, moyennant quelques adaptations du poste de travail, les personnes ayant une déficience visuelle auront l’opportunité de mettre à profit leurs compétences professionnelles de façon efficace.

Visionnez et partagez en grand nombre cette capsule vidéo afin que de soutenir les personnes handicapées visuelles dans leurs démarches en emploi et leur inclusion sociale !

Le 17 janvier 2022, le Devoir a publié un article présentant l’importance pour les personnes handicapées d’avoir accès aux tests PCR.

Cet article a été publié en lien avec les démarches entreprise par le RAAQ. En effet, l’organisme a rédigé une lettre ouverte revendiquant l’accès  aux tests PCR pour les personnes handicapées. Ladite lettre ouverte a été publiée dans le Devoir et signée par plusieurs organismes œuvrant auprès des personnes handicapées.

L’AÉRA adhère aux démarches du RAAQ et y appose également sa signature. De plus, pour mettre du poids à cette démarche, l’association a envoyé un communiqué à chacun des députés provinciaux représentant la Mauricie et le Centre-du-Québec. L’AÉRA souhaite que ces actions permettrons aux personnes handicapées visuelles et autres de faire valoir leur droit à l’accès à des mesures adaptées à leur condition.

Des personnes en situation de handicap, qui sont incapables d’utiliser les tests rapides par elles-mêmes à la maison lorsqu’elles ont des symptômes de COVID-19, aimeraient être ajoutées par le gouvernement du Québec à la liste des personnes prioritaires pour avoir accès aux tests PCR.

Alors même que Québec restreignait début janvier l’accès aux centres de dépistage, qui étaient sous pression à cause du variant Omicron, Lucie Giroux, qui a perdu la vue il y a quelques années, a commencé à se sentir malade. Elle avait quelques tests rapides, grâce à une voisine, mais elle n’était pas en mesure de les utiliser par elle-même et de voir le résultat.

« Je ne vois absolument rien, explique la Montréalaise au Devoir. J’ai dû demander à mon voisin, qui voit mieux que moi, de s’habiller en astronaute pour venir chez moi et me faire passer un test rapide. » Le résultat étant positif, elle est restée isolée avec sa mère âgée de 76 ans, qui a, elle aussi, de grandes difficultés à utiliser un test par elle-même.

« Je mets les gens en danger, renchérit Lucie Giroux. Pour passer un test PCR, j’ai besoin de quelqu’un pour m’amener, mais, là-bas au moins, nous avons de l’aide professionnelle. J’ai besoin des yeux d’autrui, j’ai besoin d’aide professionnelle », souligne-t-elle.

J’ai dû demander à mon voisin, qui voit mieux que moi, de s’habiller en astronaute pour venir chez moi et me faire passer un test rapide

— Lucie Giroux

Patrick Desjardins fait face au même problème. L’homme de 45 ans, qui réside à Montréal, est paralysé. « Je ne peux pas utiliser de test rapide, affirme le président d’Ex æquo, un organisme qui défend les droits des personnes ayant une déficience motrice. C’est vraiment un problème pour nous. »

Une préposée vient régulièrement lui donner un coup de main, mais il s’inquiète des risques de la contaminer. « Ce n’est pas l’idéal », dit-il. Un risque amplifié par le fait que le fils de l’homme, qui s’est récemment séparé de sa conjointe, recommencera à fréquenter l’école en personne et pourrait attraper la COVID-19.

55 organismes signent une lettre

« C’est un problème majeur », lance Antoine Perreault, directeur général du Regroupement des aveugles et amblyopes du Québec (RAAQ). Au Québec, plus de 200 000 personnes ont un problème de vision, selon des chiffres de l’Office des personnes handicapées du Québec datant de 2017. Plus d’un million de personnes âgées de 15 ans et plus dans la province ont au moins une incapacité, est-il également précisé.

À l’initiative du regroupement, 55 organismes du milieu communautaire ont signé une lettre, que Le Devoir a obtenue et publiée sur son site Web, pour réclamer que les personnes handicapées soient ajoutées à la liste des groupes ayant droit aux tests PCR. « C’est une question de sécurité et d’égalité, écrivent les signataires. Nous ne remettons pas en question l’importance de prioriser les dépistages. Mais il est inconcevable que les personnes handicapées n’aient pas droit aux tests PCR. »

Plusieurs groupes sont touchés, explique Antoine Perreault. « Ce n’est pas accessible [les tests rapides] pour une personne ayant des difficultés de motricité fine, souligne-t-il. Je discutais avec des gens qui représentent des personnes avec une déficience intellectuelle, et comprendre comment ça fonctionne et le faire, c’est vraiment compliqué. »

À cela s’ajoute le fait que plusieurs personnes reçoivent de l’aide à la maison d’employés du réseau de la santé et des services sociaux, mais aussi de proches aidants, de voisins ou de bénévoles. « Ce ne sont pas des gens qui sont nécessairement formés pour la COVID-19, ou qui ont le droit de faire passer un test PCR, dit-il. Si la personne a des symptômes, il faut qu’elle sache rapidement si elle a la COVID-19 et si la personne est à l’aise de venir l’aider chez elle. »

La liste des personnes prioritaires a été élargie vendredi, rapporte Antoine Perreault, mais elle n’inclut toujours pas les personnes avec un handicap. « C’est bien que certaines personnes en lien avec les gens handicapés puissent maintenant se faire dépister », souligne-t-il toutefois.

Le RAAQ discute régulièrement avec des représentants du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) depuis le début de la pandémie pour qu’il y ait des aménagements pour les personnes handicapées. « C’est problème sur problème sur problème. La plateforme en ligne pour prendre rendez-vous pour un vaccin n’est pas accessible [pour les personnes en situation d’handicap », déplore-t-il.

Le directeur général compte continuer d’interpeller le ministère pour élargir l’accès aux tests. « Nous espérons que le MSSS prendra conscience de l’importance de tenir compte des problèmes qui touchent les personnes handicapées », dit-il.

Nous vous invitons également à consulter la lettre ouverte qui a été rédigé dans cette intention :

Les personnes handicapées encore négligées

Depuis le 4 janvier, les tests PCR sont réservés aux personnes travaillant dans le réseau de la santé ou qui sont hospitalisées, aux personnes sans-abri, aux personnes autochtones et à celles qui travaillent dans des milieux jugés à haut risque.

En pleine flambée des cas, le reste de la population doit maintenant se tourner vers des tests rapides. Faute de disponibilité de ces tests ou de capacité à les utiliser, les personnes avec des symptômes devront tenir pour acquis qu’elles sont infectées et se placer en isolement.

Nous ne remettons pas en question l’importance de prioriser les dépistages. Mais il est inconcevable que les personnes handicapées n’aient pas droit aux tests PCR. Loin d’être exceptionnelle, cette exclusion fait suite à une longue liste « d’oublis » de la part du gouvernement depuis le début de la pandémie.

Une exclusion mettant plusieurs personnes en danger

Plusieurs personnes en situation de handicap requièrent un soutien à domicile pour accomplir des tâches essentielles de la vie quotidienne, comme se lever, s’habiller ou se nourrir, tandis que d’autres en ont besoin pour le ménage, la cuisine ou leurs déplacements. Ces personnes reçoivent donc régulièrement chez elles des gens travaillant dans la santé, des employés ou encore des proches aidants. Il est nécessaire d’assurer la sécurité des personnes handicapées ainsi que de celles et ceux qui leur viennent en aide. Ces gens ne peuvent se permettre un isolement préventif, ils doivent savoir s’ils ont la COVID-19 rapidement et efficacement.

Pour plusieurs personnes en situation de handicap, il est impossible d’effectuer un test rapide de façon autonome. Une limitation visuelle empêche de voir le résultat, par exemple, tandis que des problèmes de dextérité rendent irréalisables les différentes manipulations requises. Pour certaines, il est impraticable, voire dangereux, de s’insérer un écouvillon dans le nez. La procédure d’un test rapide requiert de passer deux tests dans un intervalle de 24 heures afin de confirmer un résultat négatif. Cela implique donc de recevoir à deux reprises le soutien d’une personne qui n’est pas nécessairement formée pour être en contact avec de possibles cas de COVID-19.

Des risques inacceptables

Depuis le début de la pandémie, le gouvernement s’entête à négliger les personnes handicapées, et ce, malgré toutes les interventions des organismes communautaires pour lui donner l’heure juste sur la réalité vécue par des milliers de Québécoises et de Québécois. Cela a assez duré, elles doivent être ajoutées sans plus tarder à la liste des groupes ayant droit aux tests PCR. C’est une question de sécurité et d’égalité.

* Les signataires sont toutes et tous impliqués dans le milieu communautaire en soutien aux personnes handicapées :

• Alexandra Jacques, présidente du Mouvement Personne d’abord de Lachute
• Anne Pelletier, directrice générale de DéPhy Montréal
• Annie Perron, directrice du Groupe Entre-Amis de Baie-Comeau
• Audrey Lefebvre, coordonnatrice d’Autisme Côte-Nord
• Carole Giguère, présidente du Regroupement des aveugles et amblyopes du Québec
• Carole Normand, directrice de l’Association de l’ouïe de l’Outaouais
• Christian Venne, président de l’Association des personnes handicapées visuelles de Lanaudière
• Claude Ménard, président du Comité des usagers du CRR La ResssourSe
• Daniel Deschênes, directeur général de l’Association du syndrome de Usher du Québec
• Denise Ménard, présidente du Comité des usagers de la Montérégie-Centre
• Dominique Salgado, directeur général du Comité d’action des personnes vivant des situations de handicap
• Elsa Lavigne, directrice générale d’AlterGo
• Evelyne Forcier, directrice du Mouvement Personne d’abord de Joliette
• Francine Boulet, présidente du Comité des usagers continué de l’Institut Nazareth & Louis-Braille
• Gerald Gagné, administrateur de La croisée Sainte-Anne-des-Monts
• Amanda Germain, membre du Mouvement Personne d’abord de Sainte-Thérèse
• Ghislain Gagnon, directeur général du Regroupement des associations des personnes handicapées Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine
• Gilles Read, directeur général du Centre de la communauté sourde du Montréal métropolitain
• Hélène Hébert, directrice par intérim du Réseau québécois pour l’inclusion sociale des personnes sourdes et malentendantes
• Hélène Lépine, présidente du conseil d’administration de l’INEEI-PSH
• Huguette Vigneau, directrice de l’Association des personnes handicapées visuelles BSL
• Jacques Lapointe, directeur général de Vie autonome Montérégie
• Jasmine Lebreux, coordonnatrice de l’Association des personnes handicapées secteur Estran de Grande-Vallée
• Jean Lavallée, président de Parkinson Côte-Nord
• Jean-Michel Bernier, président du conseil d’administration du Regroupement des organismes de personnes handicapées de la Capitale-Nationale
• Joanie Poirier, directrice générale de l’Association des personnes handicapées visuelles de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine
• Julie Brousseau, directrice générale d’Audition Québec
• Julie Dubé, coordonnatrice d’événements au Module d’épanouissement à la vie de Sept-Îles
• Karine Descôteaux, directrice générale de l’Association éducative et récréative des aveugles
• Louise Bourgeois, présidente de la Fédération des Mouvements Personne d’abord du Québec
• Mara Audet Leblanc, directrice générale de l’Association lavalloise pour le transport adapté inc.
• Marie Turcotte, directrice générale d’Ex æquo
• Marie-Chantal Lépine, présidente du Mouvement Personne d’abord de Saint-Eustache
• Marie-Hélène Bolduc, vice-présidente des programmes et services de Dystrophie musculaire Canada
• Mathieu Francœur, coordonnateur du Mouvement des personnes handicapées pour l’accès aux services
• Michel Aubut, président du Mouvement Personne d’abord du Québec Métropolitain
• Nathalie Ladouceur, présidente du Mouvement Personne d’abord de Laval
• Olivier Villeneuve, directeur du Mouvement Personne d’abord de Saint-Jérôme
• Pascale Dussault, directrice générale du Regroupement des aveugles et amblyopes du Montréal métropolitain
• Patrick Fougeyrollas, conseiller scientifique et aux relations publiques du Réseau international sur le Processus de production du handicap
• Paul Lupien, président par intérim de la Confédération des organismes de personnes handicapées du Québec
• Pierre Schram, directeur général de l’audiothèque L’Oreille qui lit
• Pierre-Yves Lévesque, président de PIMO
• René Binet, directeur général du Regroupement des personnes handicapées visuelles (régions 03-12)
• Richard Lemieux, directeur général de l’Association des personnes handicapées visuelles de l’Outaouais
• Roland Savard, directeur général de l’Association québécoise des parents d’enfants handicapés visuels
• Smaille Pierrilus, directeur général de l’AMEIPH
• Serge Poulin, directeur général du Regroupement des usagers du transport adapté et accessible de l’île de Montréal
• Carole Sirois, directrice de l’Association de la fibromyalgie Manicouagan et Fatigue chronique
• Sophie Lanctôt, de Société Logique
• Steve Ouimet, directeur de l’Association la Croisée
• Sylvain Brouillard, directeur général de Vie Autonome-Montréal
• Sylvie Girard, coordonnatrice de l’Association des personnes avec difficultés visuelles de Manicouagan
• Sylvie Vaillancourt, directrice générale de la Table de concertation des associations de personnes handicapées Côte-Nord
• Tamara-Jeanne Dubé, directrice par intérim de l’Association des personnes avec une déficience de l’audition

Un reportage, diffusé sur les ondes de la chaîne Radio-Canada le 24 décembre 2021 dernier, rapportait les bénéfices découlant du partenariat établit entre la STTR et l’AÉRA misant sur l’utilisation du contact sonore afin d’aider les personnes non-voyantes lors de l’utilisation des transports en commun. Vous y retrouverez la directrice générale Karine Descôteaux qui partage son point de vue quant aux services rendus par la STTR.

Ci-après, vous trouverez l’article écrit et un lien vous menant au reportage vidéo afin de visionner le reportage complet.

Radio-Canada, le 24 décembre 2021

Karine Descôteaux prend l'autobus pour se rendre au travail au centre-ville de Trois-Rivières.

En novembre dernier, l’Association éducative et récréative des aveugles de la Mauricie et du Centre-du-Québec a été reconnue pour un projet visant à encourager les personnes avec un handicap visuel à utiliser le transport en commun.

Depuis un an, l’organisme et la Société de transports de Trois-Rivières (STTR) collaborent pour offrir des activités d’orientation aux personnes ayant un handicap visuel.

« Ça s’appelait le contact sonore qui consiste à s’adresser à la personne visuellement handicapée afin de lui permettre de mieux s’orienter et de se localiser rapidement », explique Karine Descôteaux. Celle qui dirige l’Association est non-voyante depuis environ huit ans.

Elle estime que les chauffeurs sont plus à l’écoute des personnes qui ont un handicap visuel.

« Lorsque je suis rentrée, je lui ai demandé de me laisser à la traverse devant le bureau, pas loin de mon bureau. Donc, il m’a laissée là. Il m’a dit que j’étais à trente pieds du trottoir, donc j’ai traversé en toute sécurité et en sachant où j’étais », raconte-t-elle. Le chauffeur a donc un rôle important pour faire de l’autobus un environnement sécuritaire.

Les progrès sont rassurants, selon Karine Descôteaux, mais il faut continuer à sensibiliser les gens.

Sa candidature pour siéger au conseil d’administration de la STTR a par ailleurs été récemment retenue. Cela lui permettra de voir de l’intérieur les améliorations à apporter dans les autobus de la ville.

D’après le reportage de Marc-Antoine Bélanger

Les contes de la sirène se poursuivent…

En raison des conditions météorologiques, la seconde représentation de l’évènement est reportée au dimanche, 28 novembre 2021. Il est encore temps de vous inscrire à cette activité visant la sensibilisation de la communauté à la condition des personnes vivant avec un handicap visuel. Nous vous invitons à venir assister à cette seconde représentation en grand nombre afin de soutenir le projet.

Une série d’événements

Les Contes de la sirène vous offre de découvrir l’univers du handicap visuel en dévoilant aux participants des techniques de déplacement, leur couvrant les yeux au stationnement d’EMA métiers d’art et les initiant à parcourir, avec une canne et les yeux bandés, le Parc des Ursulines. Les participants devront affiner leur ouïe en se fiant à la voix de Valérie Poisson afin de diriger leur marche. En plus d’affronter leur peur de manière ludique, l’échange verbal entre des voyants et non-voyants sur place sera encouragé. Les pauses permettront au conteur d’ouvrir l’imaginaire des participants sur la vie d’une sirène avec le son aquatique venant du port.

Mettant en vedette :

EMA avec ses créations québécoises, les conseils de la directrice de l’AÉRA, Karine Descôteaux, les contes de Steve Bernier ainsi que la performance de la soprano Valérie Poisson sur les airs de Bizet, Puccini et Mozart à l’occasion de la Journée mondiale des fleuves et de la Journée internationale de la canne blanche.

Inscription

Les places gratuites, mais limitées à 24 duos, peuvent être réservées en ligne sur le site Facebook de Valérie Poisson Soprano sur facebook.com/valeriepoissonsoprano ou auprès de l’AERA [email protected].

Cette série d’événements promeut la collaboration artistique, la sensibilisation et la médiation.

 

Nous vous invitons à prendre connaissance de la couverture médiatique du Nouvelliste au sujet de la première représentation.

 

Au plaisir de vous y retrouver en grand nombre !

La directrice générale de l’association, Karine Descôteaux, ainsi que l’intervenante sociale, Paméla Désautels, étaient présentes à la cérémonie de remise des prix pour la 17e édition du gala Guy-Chartrand (visionnement ici).

En effet, l’AÉRA faisait partie des finalistes de la catégorie Action et mobilisation des usagers pour son initiative innovatrice : les marches exploratoires des circuits de la STTR, organisées dans le cadre d’un partenariat établi avec la société.

Nous sommes extrêmement fiers de cet accomplissement et motivés plus que jamais à poursuivre notre implication auprès de la communauté handicapée visuelle pour favoriser son inclusion et encourager son indépendance !

À la suite de la cérémonie, nous étions invités à visiter le musée Exporail. Nous y avons pris quelques photos souvenirs.

La directrice générale, Karine Descôteaux, assise à bord du train et vue depuis la petite fenêtre du conducteur ferroviaire. L'avant de la locomotive et la machinerie permettant la mise en route du train. Visite de l'intérieur des nouvelles voitures de métro de la Ville de Montréal, le REM. Un magnifique métro léger exposant des couleurs contrastantes : un blanc immaculé laqué, du vert lime et du vert forêt, le tout dans un espace bien pensé. (Pour en savoir plus : https://rem.info/fr/materiel-roulant) La directrice générale, Karine Descôteaux, se tenant sur la barre d'appui du REM. Une locomotive de la CNR de couleur orangée, lettrée en blanc. La directrice générale attendant son transport sur l'un des grands bancs en bois massif de la gare. Une magnifique locomotive de train entièrement faites de lattes de bois. La locomotive du Pacific Canadian circulant en Saskatchewan, entièrement faites de lattes de bois. La directrice générale Karine Descôteaux, admirant le travail artistique sur une voiture de tramway ancienne. Le tramway observatoire de la Montreal Street Railway Co, un véhicule de couleur crème orné de cuivre. De toute beauté ! (informations supplémentaires : https://proposmontreal.com/index.php/pay-as-you-enter/)

L’Association Éducative et Récréative des Aveugles est fière d’annoncer que sa candidature dans la catégorie Action et mobilisation des usagers figure parmi les cinq finalistes pour le prix du Gala Guy-Chartrand ! C’est avec véhémence, que la directrice générale, Karine Descôteaux, représentera l’association audit gala qui aura lieu jeudi, 11 novembre 2021.

Le 26 octobre dernier, Trajectoire Québec dévoilait les finalistes de la catégorie Action et mobilisation des usagers de la 17e édition du Gala des Prix Guy-Chartrand. Parmi les seize (16) initiatives qui ont été déposées, voici celles qui ont été retenues :

Le Gala des Prix Guy-Chartrand sera diffusé en primeur le 11 novembre 2021, à 11h, sur la page YouTube de Trajectoire. Soyez au rendez-vous !!!

Description de notre initiative ; les marches exploratoires :

L’Association Éducative et Récréative des Aveugles se mobilise pour favoriser l’autonomie des personnes en situation de handicap visuel dans plusieurs sphères de la vie courante. Par le biais de ce projet, l’association souhaite amener sa clientèle à développer leur autonomie dans leurs déplacements.

Les marches exploratoires sont animées par la directrice générale de l’AÉRA qui s’implique auprès de sa clientèle afin de la familiariser aux différents trajets de terminus du réseau de la STTR. De plus, à l’occasion de cette présentation, la directrice générale procède à la vulgarisation de l’utilisation de l’application Transit afin de faciliter les déplacements sur le réseau. Elle introduit également les participants à l’utilisation de BlindSquare, un GPS pour non-voyant.

Ayant établi une entente de partenariat dans le cadre de cette activité d’exploration, la Société du Transport de Trois-Rivières réserve une passe à la directrice générale de l’AÉRA et aux participants afin de ceux-ci puissent circuler gratuitement sur les différents circuits présentés. Précisons également que la directrice générale a mené une campagne de sensibilisation auprès de la STTR afin que les services octroyés par la société soient mieux adaptés à la clientèle déficiente visuelle. En effet, dans le cadre de ce projet d’envergure, l’AÉRA a soumis plusieurs recommandations à la STTR et a grandement sensibilisé les conducteurs et conductrices du réseau sur la façon d’aborder et de faciliter le bon déroulement du trajet pour les personnes ayant un handicap visuel. Les usagers non-voyants sont à présent davantage reconnus par les conducteurs d’autobus et ces derniers font preuve de bienveillance à leur égard en suivant les recommandations soumises par l’association.

L’impact de notre intervention sur la communauté :

La clientèle handicapée visuelle a besoin de se sentir en confiance et en sécurité dans ses déplacements. Par le biais des marches exploratoires, l’association veille à ce que les services rendus à cette clientèle particulière soient adéquats et s’assure que les usagers se familiarisent avec l’environnement en offrant un accompagnement sécurisant lors de l’exploration des différents circuits du réseau de la STTR.

Par la suite, l’apprentissage de l’utilisation des applications Transit et BlindSquare permet également d’accroître l’autonomie des usagers et leur donne accès à des outils adaptés pour se repérer lors de leurs déplacements courants.

De plus, la sensibilisation menée auprès des conducteurs et conductrices de la STTR a permis l’adaptation des services octroyés par ceux-ci et suscite la confiance et un sentiment de sécurité plus grand chez les utilisateurs non-voyants du réseau. De ce fait, ces derniers seront plus enclins à utiliser le transport en commun afin de se déplacer de façon autonome dans la ville de Trois-Rivières.

Quelles sont les retombées de ce projet :

Tel que mentionné ci-haut, les marches exploratoires ont pour but de familiariser les usagers non-voyants avec les différents circuits du réseau de la STTR afin qu’ils se sentent plus à l’aise de les utiliser de façon autonome au quotidien. En effet, à la suite de cette exploration du réseau, les participants se sentent en meilleure confiance et se développent des points de repères pour faciliter leurs déplacements. Aussi, l’interaction avec les conducteurs est aidante et ceux-ci répondent adéquatement au besoin de cette clientèle particulière en agissant avec bienveillance à leur égard.

Ensuite, les participants ont l’occasion de se familiariser avec les divers arrêts présents lors du trajet. Ils se familiarisent également avec les différents abris-bus et terminus d’autobus. De plus, à l’aide de l’application Transit, ils peuvent planifier leurs déplacements en temps réel. Par ailleurs, l’utilisation de cette application nécessite d’être présentée par une personne expérimentée qui utilise le VoiceOver afin d’en faire une utilisation adéquate et efficace.

Puis, la personne qui anime les marches exploratoires s’assurent que les participants intègrent bien la façon d’utiliser les applications adaptées et qu’ils se sentent en confiance sur les trajets qu’ils utiliseront régulièrement par la suite. Les participants ont fait part de leur appréciation de cette activité exploratoire et des retombées positives qu’elle avait eu sur eux, leur permettant d’utiliser un moyen de transport accessible tout en préservant leur autonomie avec assurance lors de leurs déplacements.

Leadership et engagement :

L’AÉRA a fait preuve d’initiative, de créativité et d’engagement dans ce projet pour répondre à un besoin particulier de sa clientèle. En effet, l’association a conclu en entente de partenariat auprès de la STTR pour favoriser l’accès à cette activité exploratoire et soutenir l’adaptation des services octroyés à la clientèle en situation de handicap visuel.

Plusieurs démarches ont été entreprises pour mener à bien ce projet. D’abord, des recommandations ont été soumises auprès de la STTR. Puis, une campagne de sensibilisation a été menée auprès de tous les membres du personnel de la Société de Transports de Trois-Rivières afin qu’ils saisissent les enjeux entourant la déficience visuelle et qu’ils puissent adopter des pratiques mieux adaptées à la réalité des personnes en situation de handicap visuel.

La STTR a bien répondu à notre projet et l’AÉRA a remercié à maintes reprises les conducteurs et la STTR pour leurs bons services et les modifications qu’ils ont apportées au bénéfice de la clientèle déficiente visuelle. L’association a d’ailleurs rédigé une lettre de remerciement à leur égard qui a été transmise à tous les conducteurs et conductrices du réseau, mais a également veillé à ce que cette lettre soit publiée pour souligner les loyaux services rendus par la STTR.

Pour conclure, l’AÉRA est fière d’être un agent actif et entreprenant au service de la clientèle handicapée visuelle. L’Association Éducative et Récréative des Aveugles soutient sa clientèle dans le développement de ses capacités, prônant son inclusion dans la société et favorisant son indépendance !

L’Association Éducative et Récréative des Aveugles est fière d’avoir contribué à la mise en œuvre d’une activité de sensibilisation culturelle et interactive à la portée de la population trifluvienne, en collaboration avec Culture Trois-Rivières et la talentueuse soprano Valérie Poisson.

Par ailleurs, EMA, AÉRA, Karine Descôteaux (directrice générale de l’AÉRA), Valérie Poisson et Steve Bernier vous convie à leur premier événement alliant musique, art du conte et sensibilisation à l’handicap visuel les 26 septembre et 15 octobre prochains en partance du terrain d’EMA jusqu’au Parc des Ursulines.

Le collectif est plus qu’heureux de vous convier à son premier, mais passionnant et stimulant événement au terrain d’EMA et au Parc des Ursulines le dimanche 26 septembre et vendredi le 15 octobre prochains présenté en collaboration avec Culture Trois-Rivières et AÉRA (Association Éducative et Récréative des Aveugles).

Image d’un jeune femme aux yeux bandés qui tente de se diriger sur le chemin, montrant un paysage printanier en arrière-plan.

Inauguration d’une série d’événements

Les Contes de la sirène vous offre de découvrir l’univers de l’handicap visuel en dévoilant aux participants des techniques de déplacement, leur couvrant les yeux au stationnement d’EMA métiers d’art et les initiant à parcourir, avec une canne et les yeux bandés, le Parc des Ursulines. Les participants devront affiner leur ouïe en se fiant à la voix de Valérie Poisson afin de diriger leur marche. En plus d’affronter leur peur de manière ludique, l’échange verbal entre des voyants et non-voyants sur place sera encouragé. Les pauses permettront au conteur d’ouvrir l’imaginaire des participants sur la vie d’une sirène avec le son aquatique venant du port.

Au menu,

EMA avec ses créations québécoises, les conseils de la directrice de l’AÉRA, Karine Descôteaux, les contes de Steve Bernier ainsi que la performance de la soprano Valérie Poisson sur les airs de Bizet, Puccini et Mozart à l’occasion de la Journée mondiale des fleuves et de la Journée internationale de la canne blanche.

Inscription

Les places gratuites, mais limitées à 24 duos, peuvent être réservées en ligne sur le site Facebook de Valérie Poisson Soprano sur facebook.com/valeriepoissonsoprano ou auprès de l’AERA [email protected].

 

Cette série d’événements promeut la collaboration artistique, la sensibilisation et la médiation.

Portée médiatique

La directrice générale de l’AÉRA a également mené une entrevue auprès du Nouvelliste pour annoncer la venue de cette activité extraordinaire visant à sensibiliser les gens sur la déficience visuelle et ses enjeux. Elle y mentionne :

«On cherche à sensibiliser l’ensemble de la population, mais aussi nos différents ordres de gouvernement à la cause de la déficience visuelle, explique la directrice d’AERA, Karine Descôteaux. C’est une réalité dont on ne parle que rarement, mais qui demeure très actuelle pour nos 1700 membres en Mauricie et au Centre-du-Québec. Moi qui suis non-voyante, je suis en mesure de vivre une vie normale et autonome malgré mon handicap : je travaille, je me déplace, je fais mes emplettes, etc. Sans chien-guide, simplement grâce à l’utilisation d’une canne dans mes déplacements.»

«Par contre, quand vient le moment de circuler sur une voie piétonnière et qu’on y dépose des bacs de récupération, des vélos ou qu’on y aménage une terrasse, ça devient tout un défi pour moi. Je me retrouve comme dans un labyrinthe. On souhaite simplement que les gens tiennent davantage compte de notre réalité au quotidien pour nous faciliter la tâche.»

La cause justifie des actions plus élaborées et des représentations auprès des instances gouvernementales, mais la simple sensibilisation du grand public demeure nécessaire sur une base régulière. Le Parcours à l’aveugle constitue une façon ludique et agréable de le faire.

Par le biais de ces actions, l’Association Éducative et Récréative des Aveugles souhaite que la population trifluvienne et les agents gouvernementaux soient plus aguerris face à la réalité dans laquelle les personnes en situation d’handicap visuel doivent vivre au quotidien.

Photo montrant une femme asiatique non-voyante qui marche sur le côté de la route une canne à la main.

Informations générales

Dates :

26 septembre, 14h30 et 16h30

15 octobre, 17h30 et 19h30

 

Départ : Stationnement d’EMA

Adresse : 802 Rue des Ursulines, Trois-Rivières, QC G9A 5B5

Durée : 1h30

Coût : Gratuit

Contact

 

Valérie Poisson AERA, Karine Descôteaux

514-433-1730 819-693-2372

[email protected] [email protected]

valeriepoisson.ca aera0417.com

Valérie Poisson

 

Comme annoncé la semaine dernière, Apple a rendu iOS 15 disponible le 20 septembre 2021. En plus d’iOS, iPadOS et TVOS sont aussi disponible dans leur version 15. Pour les possesseurs d’Apple Watch, ces derniers auront droit à la version 8 du système d’exploitation de la montre. Attention toutefois de toujours mettre l’iPhone à jour avant l’Apple Watch.

 

Enfin, on a le choix!

 

Je vous ai parlé dans un article précédent qu’on aurait le choix de rester sur iOS 14 et continuer de recevoir des mises à jour importantes ou encore de mettre à niveau vers le nouveau système et avoir les nouvelles fonctionnalités. Apple a tenu sa promesse. Lorsque je vais dans la section Mises à jour logiciel de l’iPhone, Apple me dit que mon logiciel est à jour. Ensuite, il m’offre l’option de mettre à niveau vers iOS 15 en me disant qu’iOS 15 est également disponible. Pour avoir plus d’infos sur la mise à jour, il faut cliquer sur le bouton appelé Mettre à niveau. À noter que lorsque j’ai ouvert Mises à jour logiciel pour la première fois, une fenêtre pour faire de la publicité pour iOS 15 est apparue. Je l’ai fermée et j’ai eu l’écran dont je vous parlais plus tôt.

 

Si vous êtes sur une version plus ancienne que 14.8, vous devriez pouvoir installer cette version. À l’heure actuelle, 2 iPhone de personnes de mon entourage qui étaient sur 14.7.1 se sont fait proposer la mise à jour vers 14.8. Je vous conseille donc, si vous souhaitez rester sur iOS 14, d’aller dans la section Mises à jour logiciel et de cliquer sur le bouton pour installer iOS 14.8.

 

Prêts à faire le pas?

 

Si vous aimez bénéficier des nouvelles fonctionnalités et toujours avoir les dernières mises à jour dès leur sortie, le temps est venu pour vous de faire le grand pas. Voici toutefois quelques précautions à prendre pour que le processus de migration se fasse bien. Veuillez noter que ces précautions sont bonnes pour tout le monde et pas seulement pour ceux et celles qui veulent installer iOS 15.

 

La chose la plus importante à faire avant de mettre à jour est une sauvegarde chiffrée de votre appareil sur iTunes. Si vous ne savez pas comment faire ni comment utiliser iTunes, je vous mettrai un lien en fin d’article où tout vous est montré pas à pas. Une fois votre sauvegarde chiffrée faite, je vous conseille d’effectuer la mise à jour par iTunes si vous êtes sur une version plus ancienne que 14.8. Vous éviterez donc d’avoir à faire d’abord la mise à jour vers 14.8. Je vous recommande également de sauvegarder régulièrement votre appareil sur votre ordinateur. De cette façon, s’il y a des problèmes avec votre sauvegarde iCloud, vous aurez une sauvegarde locale sur votre ordinateur.

 

Devriez-vous mettre à jour?

 

La réponse à cette question est propre à chacun. Pour ma part, je l’ai installé sur un appareil de test pour être en mesure de m’amuser avec et repérer les bugs potentiels. Si vous êtes un utilisateur de l’application Wallet, il est recommandé par le site anglais Applevis de ne pas mettre à jour. Selon leurs tests, il y a beaucoup de problèmes d’accessibilité dans cette application. Pour ma part, je vais attendre quelques semaines ou mois avant de mettre mon téléphone personnel à jour pour que les bugs les plus importants soient corrigés. N’hésitez pas à me partager vos expériences si vous décidez de franchir le pas.

 

Voici le lien du podcast pour apprendre à utiliser iTunes.

 

 

Olivier D’Anjou

Responsable du soutien technique et formateur de l’AÉRA